Une branche qui chante et un oiseau de vérité. Un prince à tête de sanglier et un jeune homme qui attrape le diable par la queue… Ogre, fée, animaux enchantés… Avec malice et poésie, Henri Pourrat nous entraîne dans un univers merveilleux.
Gallimard Jeunesse
Collection Folio Junior (n° 1218)
Parution : 29-05-2002
« Les contes populaires doivent être traités avec infiniment de respect : les recueillir et leur rendre leur style, sans plus » : telle était la (...)
→Henri Pourrat a consacré une grande partie de sa vie à recueillir les contes, venus du fond des âges, et qui, sans lui, risquaient de finir par (...)
→Rondes, défilés ou processions, chants de joie, de colère, ou de deuil, mêlés aux bruits venus de la forge et des ateliers du menuisier, du sellier, (...)
→« Il est des livres qu’on voudrait emporter sur l’île déserte comme des compagnons familiers de nos robinsonnades, des livres pour les nuits (...)
→Des sept thèmes autour desquels s’organise Le Trésor des contes, celui qui a trait au monde sauvage est peut-être le plus singulier. S’y reflète (...)
→« Ces contes sont une enfance. La première chose qu’ils exigent c’est qu’on les transcrive fidèlement. C’est une bonne fortune que d’en écrire un sous (...)
→Il y avait une fois, là-haut, sur ces montagnes, un agnel blanc. Alors, petit, veux-tu entendre son histoire ? Avec celle de la rate et de son (...)
→C’est surtout le rire qui domine et l’emporte dans ces 190 contes, dont 32 inédits, représentant les alternances d’un thème double. Les innocents ne (...)
→Au travail dans les champs ou bien au soleil, en foire, dans l’odeur des bêtes et les propos des gens, on se sent comme chez soi. En revanche au (...)
→Après Le Diable et ses diableries, voici un nouveau groupe du trésor des contes, avec pour thème les Brigands. Ce sont les contes de la méfiance, de (...)
→« Est-ce qu’il ne faudrait pas penser de plus près à ce que sont les contes : une grande entreprise magique ? Primordiale et universelle. Il y aurait (...)
→Une branche qui chante et un oiseau de vérité. Un prince à tête de sanglier et un jeune homme qui attrape le diable par la queue… Ogre, fée, animaux (...)
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Ni hommes, ni femmes, chantent-ils, tous Auvergnats. De la sorte, quand on songe aux travers et défauts propres à chaque sexe,
on est en droit de penser que l’Auvergnat seul pourrait préparer l’avènement d’une humanité supérieure. (Ceux d’Auvergne, 1928)
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